« Mieux vaut prévenir que guérir » Journée mondiale de la santé

« Mieux vaut prévenir que guérir » cet adage résonne encore plus fort au lendemain de la journée Mondiale de la Santé.
La prévention est la grande oubliée des politiques publiques et aujourd’hui, face à cette pandémie, il n’existe aucun remède sauf à prévenir grâce aux gestes barrières, au port d’un masque et au confinement.
SAF France souhaite un changement de paradigme en santé vers une véritable politique préventive.
15 000 bébés naissent chaque année en France handicapés par l’alcool et la liste de leurs soucis est longue : troubles du comportement, de l’apprentissage, de l’insertion… Alors que le Canada et les États-Unis, conscients des répercussions sociales dramatiques, on fait de l’alcoolisation fœtale un enjeu primordial, la France refuse encore d’ouvrir les yeux.
Aujourd’hui, au moins 1,3 million de Français sont atteints du Syndrome d’Alcoolisation Fœtale (SAF) et autres Troubles Causés par l’Alcoolisation Fœtale (TCAF) et le coût pour la collectivité est évalué chaque année à plus de 20 milliards d’euros.
Prévenir le SAF et les autres TCAF, c’est investir dans les générations futures et respecter le droit des enfants à l’égalité des chances.
Tout comme l’Académie Nationale de médecine le recommande : prévenons, formons, diagnostiquons, accompagnons les mères et les familles, et faisons du SAF, une grande cause nationale.
#AlcoolGrossesseParlonsen.