La maladie alcoolique chez la femme est encore très taboue. Il est néanmoins important que vous en parliez à votre médecin, sage-femme, gynécologue, pharmacien… Ils sont là pour vous aider. Chaque verre en moins est une victoire.
[/vc_column_text][vc_column_text]Ne proposez pas d’alcool à une femme enceinte. Si vous avez identifié que votre amie enceinte a des problèmes de consommation d’alcool, ne banalisez pas et parlez-en à votre médecin. Soutenez-là et ne la jugez jamais. Chaque verre en moins est une victoire.
[/vc_column_text][vc_column_text]Nous ne sommes pas tous égaux face à l’alcool et il n’y a donc pas de consommation d’alcool sans risque. Aujourd’hui, on ne sait pas quelle est la quantité minimale d’alcool qui est toxique pour l’enfant à naître. Le risqué est proportionnel à la quantité d’alcool ingéré. Des périodes d’ivresses aigues en début de grossesse sont néfastes pour l’enfant à naître et peuvent entrainer des troubles sévères. Dans ce cas, il est important que la mère pendant sa grossesse et l’enfant soient suivis par des professionnels de santé.
[/vc_column_text][vc_column_text]Nous ne sommes pas tous égaux face à l’alcool. Des facteurs personnels (génétiques, environnementaux, sociaux) de la mère et de l’enfant à naître peuvent être protecteurs. Dans le cas de grossesse gémellaire, il est déjà arrivé qu’un jumeau soit porteur du Syndrome d’Alcoolisation Fœtale alors que l’autre bébé naît complétement indemne. Retenez que chaque consommation est un risque.
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